Monsieur le premier ministre, L’heure est grave, et vous devez agir dès maintenant. Les prix du carburant, que ce soit le gaz ou le diesel, ont plus que doublé au cours des 100 derniers jours. Jamais nous n’avons payé aussi cher dans notre histoire pour pouvoir déplacer notre véhicule du point A au point B. À qui la faute: Aux pétrolières? Au manque d’infrastructure énergétique? À la chaîne mondiale d’approvisionnement? À la crise énergétique en Europe? La guerre en Ukraine? Toutes ces réponses? Peu importe les raisons, une chose est sûre: les Québécois sont à bout. Après deux ans de pandémie, voilà que le retour à la normale est marqué par une inflation galopante et un prix à la pompe qui dépasse l’imaginaire. Même si tous les Québécois possédaient des voitures électriques, le prix du gaz aurait un impact direct sur l’industrie du transport, et finalement, sur les prix que nous payons en magasin comme à l’épicerie. Je ne vous écris pas aujourd’hui en tant que donateur ou membre d’un parti politique, mais en tant que Québécois, tout simplement. En cette heure grave, je vous demande de vous inspirer de l’initiative emprunter par l’Alberta et l’Ontario: suspendez temporairement la taxe provinciale sur le gaz. Ce simple répit permettrait aux Québécois de mieux profiter des routes du Québec pendant leurs vacances cet été, à nos camionneurs d’entamer leur journée avec un moins grand déficit, et à nos entreprises d’offrir des produits à des prix plus abordables. S’il vous plaît Monsieur Legault, agissez avant qu’il ne soit trop tard. Les familles québécoises n’en peuvent plus. Merci à vous. (Ce message a été envoyé en copie à mon député).
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